De la réalisation aux défis de l’intérieur et de l’extérieur
I.- Aujourd’hui, c’est fait mais pas gagné !
En pastichant un proverbe chinois sur le mariage, on pourrait dire que l’Europe est une citadelle où tous ceux qui sont à l’intérieur voudraient sortir et tous ceux qui sont à l’extérieur voudraient entrer.
Philosophie et politique : la cité juste est-elle une utopie ?
Avant propos :
Mais aussi avertissement préliminaire : un café philo n'est pas une réunion électorale, ni une confrontation géopolitique...L'objet principal de notre débat, en dehors de toute mouvance politique, c'est d'analyser s'il existe des passerelles entre la pensée philosophique et la «Praxis» politique.
Si nous arrivons à établir ces passerelles entre (...par exemple...) Jean Luc Mélenchon et Platon, Fabien Roussel et Karl Marx, Valérie Pécresse et Alexis de Tocqueville, Yannick Jadot et Jean Jacques Rousseau, alors nous pourrons nous féliciter d'avoir gagné notre pari...mais pas avant!
Il n'est pas question de dresser un état exhaustif de la pensée des auteurs cités. Comment pourrions nous analyser l'ensemble de l’œuvre de Marx, de Tocqueville ou de Machiavel en quelques lignes ? Mission impossible bien sûr, mais nous essaierons de mettre en valeur les principales têtes de chapitre...
En revanche, si j'ai pu inciter certains d'entre vous, pendant ce 10ème café philo, à explorer plus complètement la pensée de l'un ou l'autre des auteurs cités, alors ne vous gênez pas : il y a de quoi faire!
Pour ouvrir largement le débat, je me suis efforcé de titrer les sous-chapitres avec un point d'interrogation. La porte est ouverte à toutes les réponses...
Enfin, il nous faudra avoir constamment en tête le contexte historique, social et bien sûr politique qui a bercé toutes ces réflexions : on pourrait par exemple se demander si Marx publierait «Das Kapital» en 2022...
Bonne réflexion !
PS : J'aurais bien sûr souhaité que nous puissions profiter des prospectus-programmes des candidats . ...
Depuis quelques temps, je me suis mise au Japonais. Non pas que j’aie choisi de m’exprimer en idéogrammes ou par l’écriture verticale en usage au pays du Soleil Levant. Je ne me suis pas non plus convertie aux sushis, à la soupe miso, au saké, aux rouleaux de printemps et autres nourritures nippones, même s’il peut m’arriver d’y goûter. Je parle ici de la littérature japonaise.
Jusqu’alors, c’était resté pour moi plus ou moins Terra incognita. Ma culture (ou plutôt mon inculture) s’arrêtait à peu près à Mishima, à son obsession de la beauté et à son suicide de samouraï, par seppuku. C’était à peu près tout.
" De sable, d'écume et d'immortelles ", conférence diaporama présentée par Jacques-Edmond Machefert, écrivain local, au sujet de son dernier livre (2021)
Merci à Madame la Présidente des RDV littéraires et, last but not least, au webmestre Monsieur Gérard, de nous permettre d’apporter une contribution écrite aux débats qui ne peuvent qu’être superficiels et tronqués, dès lors qu’une seule demi-heure leur est consacrée après chaque rencontre !